CARRIERES WINNNER ft les carrières qui veulent

Tu avais tué et tu étais soulagé, maintenant tu arrivais vers la Corne d'Abondance dans les premiers. Il y avait déjà quelques carrières que tu ne connaissais pas. De toute façon tu t'en fichais, tu attendais que tout le monde vienne et après vous allez pouvoir élaborer une stratégie pour piéger les agneaux de l'arène. Ces êtres sans défenses que tu ignores, la vraie menace c'est toi et Olivia et ça tu le sais. Tu sais que certaines personnes vont vouloir vous tuer, car Olivia ta partenaire représente une grande menace. Tu regardais les tributs morts et cela te faisait bien rire, qu'est ce qu'ils étaient minables. Quand on est mort on ne représente rien, tu n'avais plus envie de tuer pour le moment, tu étais de nouveau calme et serein. Tu étais bien sûr sur tes gardes, mais tu savais que si quelqu'un essayait de t'attaquer tu avais ton épée tu pourrais lui transpercer sa belle gorge et lui arracher son coeur pour ensuite le piétiner et faire voir qu'il ne faut pas te chercher. Après de longues minutes tout le monde était là. Tu ne voulais pas t'imposer comme étant le chef, mais il fallait prendre des initiatives pour tout le groupe.

-Je pense qu'on devrait récupérer tout les sacs qui reste, comme ça on se partage le butin et tout le monde est content ? Aussi on pourrait prendre les vêtements des tributs, ça peut toujours être utile. Après je dis ça pour vous, si vous n'en voulez pas, bien c'est votre choix. Je propose également qu'on fasse un grand feu pour attirer les petits tributs qui voudraient nous défier la nuit ? dis-tu avec un léger sourire.

Tu n'avais pas trop envie de plaisanter, mais il fallait détendre l'atmosphère. Là tout le monde était un peu sur la défensive, ayant peur que quelqu'un les trahisses. Personnellement ce n'était pas le bon moment pour s'entre tuer entre carrière. IL y avait de bons adversaires et il fallait les tuer et prouver qui sont les véritables carrières. Bizarrement tu avais un peu de la haine envers le district 9, car la gagnante de l'année précédente est une fille du district 9. Qu'elle n'aurait pas dû gagner, qu'elle est complètement idiote et trop petite pour pouvoir représenter son district convenablement. Tu fixais tout le monde pour attendre les réactions des uns et des autres. Tu découvriras aussi qui est apte à te vaincre ou qui est plutôt calme et serein et qui pourrait être de bons alliés très longtemps.

HRP:

Le calme après la tempête - et surtout, avant la suivante. Le bain de sang terminé, c'est dans un silence de plomb, presque inquiétant que les Carrières survivants s'étaient rassemblés pour prendre possession de la Corne, et de tous les vivres qu'elle contenait. Tous les autres avaient préféré fuir après avoir emporté ce qu'ils avaient pu, plus rarement, ce qu'ils avaient choisi. A présent qu'elle se retrouvait avec un sac rempli d'objets inutiles à son goût, Amelia regrettait de ne pas avoir pris le temps de se choisir une arme digne de ce nom. Mais avec le recul, et face à tous les corps qui gisaient dans le champ autour d'eux, elle était surtout contente de s'en être sortie indemne. Et aussi, que Callum s'en soit sorti sans une égratignure. Aux yeux de la tribut, cela tenait plus du miracle que des capacités de son binôme qu'elle voyait toujours comme son plus gros point faible dans cette arène. Encore plus ici, avec tous ces lions qui n'attendaient qu'une chose : pouvoir enfin s'égorger entre eux. La brune pensait avoir décampé d'ici-là mais, pour le moment, ils avaient besoin de cette alliance pour survivre (ne serait-ce qu'en ayant accès à la Corne). Elle était donc bien décidée à suivre deux règles : la première, rester proche de son co-tribut sans toutefois prendre la peine de lui adresser la parole, la deuxième, faire profil bas pour ne pas s'attirer d'ennuis prématurés. Sauf que, quand le tribut du Deux commença à jouer aux chefs, elle oublia bien vite ses bonnes résolutions. Partager le butin était censé, encore qu'elle craignait que cela ne tourne à la bagarre - elle-même avait besoin d'une arme, et elle comptait bien en récupérer une. Et de l'eau, aussi ; hors de question de crever de soif. Et il fallait aussi de la nourriture en quantité suffisante pour tout le groupe puisqu'elle doutait que les empotés du Un ou du Deux soient du genre à aller à la cueillette ou à la chasse. A autre chose qu'aux tributs adverses, s'entend. Récupérer les vêtements des morts ? Elle réprima à peine un soupir agacé - hors de question de jouer les rapaces à ce point, surtout qu'elle doutait de l'usage qu'elle pourrait faire d'une combinaison trop petite, ou trop grande, trouée, ou pleine de sang. Mais quand il parla de faire un feu pour attirer les autres, Amelia perdit sa patience et lâcha :

"Oui, parce que les petits tributs viendront gentiment nous demander une place autour du feu et tendront le cou pour qu'on les égorge, tu crois ? Avant de penser à les rameuter, il faudrait peut-être commencer par le début : s'organiser. Tu crois pas ?" Elle s'était rapprochée du chef auto-proclamé et ajouta avec un bref sourire sur les lèvres : "N'oublie pas que certains ont eu de meilleurs scores que toi, et qu'ils ne viendront pas ici sans préparation. Si on reste à la Corne, il faut protéger et organiser le campement avant tout." Elle croisa les bras, bien décidée à camper sur ses positions avant d'achever son intervention : "Oh, et il nous faudrait un chef." Un qui sache penser, semblait dire son regard - mais elle n'était pas suicidaire au point de cracher ça à la figure de Damon. Ce type avait l'air bien trop orgueilleux pour supporter une insulte directe.

Olivia éprouvait une certaine satisfaction, elle venait de commettre son premier meurtre, et même si en d’autres circonstances cela aurait pu paraître horrible elle n’y voyait aucuns problèmes. Pour avoir vu toutes les éditions des précédents Hunger Games encore et encore elle savait que le premier crime était comme une étape, une ligne à franchir, une fois qu’on avait tué une personne qu’est-ce qui nous retenait d’en tuer une deuxième ? Ou même une troisième ? Elle regarde Gracie avec mépris, c’est à peine si cette idiote s’était débattue. Elle fouille ses poches dans l’espoir d’y trouver un objet quelconque, mais celles-ci sont vides, bien évidemment. Cette cruche n’avait même pas été capable de récupérer quoi que ce soit, elle lui avait fait une faveur en la tuant aussi tôt, elle serait sûrement morte de faim de toute façon. La corne ne se trouve qu’à une vingtaine de mètres et pourtant le nombre de cadavres qui la séparent de cet édifice indispensable à sa survie est impressionnant. Elle reconnu quelques têtes, mais personne de bien important. Tout ces gens avaient pour la plupart eu des scores misérables aux entretiens, c’était une chance qu’ils n’aient pas à se les coltiner plus longtemps. Une fois à la corne elle va se poster aux côtés de Damon qui essaye tant bien que mal de s’imposer, sans grands résultats. Il était fort, dangereux et serait très compétent dans l’arène, mais il n’avait pas l’âme d’un meneur. Une autre carrière, du quatre, ne se prive pas de le lui faire remarquer et Olivia ne peut s’empêcher de lui donner raison, bien qu’elle reste silencieuse. Et dire qu’elle allait devoir se le coltiner et même prétendre l’apprécier si elle voulait gagner, ça l’irritait rien que d’y penser. Elle les regarde se chamailler un sourire amusé aux lèvres puis finit par intervenir, la voix posée. « On va se séparer en deux groupes, un restera ici pour s’occuper d’organiser le campement, voir un peu tout ce qu’on a à disposition et l’autre ira faire un petit tour autour de la corne, histoire de voir s’ils ne restent pas des tributs dans les environs. Si vous croisez quelqu’un réfléchissez pas : butter le. » Elle ne veut pas s’imposer mais si elle laisse ces deux imbéciles se lancer des piques ça allait mal finir, et il fallait que les carrières restent soudés le plus possible afin d’éliminer les autres tributs, c’était comme ça qu’elle voyait les choses en tout cas. Mais n’étant jamais à l’abri d’une trahison quelconque, même le premier jour, elle se méfiait déjà de tout le monde. Et elle voyait mal comment ça pourrait ne pas être le cas, toutes les personnes présentes autour d’elle n’avait qu’une idée en tête : la tuer. Car elle savait très bien que son 11 allait lui attirer des ennuis, ils la voyaient comme une menace et la tuerait à la première occasion. C’est pourquoi elle s’occuperait de régler leur cas avant qu’il n’essaye de lui chercher des noises, à elle ou à Damon. Puisque leur vies étaient reliées elle allait devoir se montrer deux fois plus prudente et ne pas lui lâcher les baskets, autant dire qu’elle s’en réjouissait d’avance.

Lors du film de propagande que le Capitole passait pendant les jours de Moisson, nous avions la chance de voir plusieurs prises d'un champ de bataille. Les corps, la terre, la poussière ; nous avions devant nous ce qui restait de la guerre des Jours Sombres, une sorte de façon morbide de nous montrer ce qui arriverait au cas où nous nous rebellerions à nouveau. Je n'avais aucune idée si c'était une reconstitution ou actuellement une vraie vidéo, et je ne m'étais jamais posé la question jusqu'à aujourd'hui. À vrai dire, j'avais en quelque sorte pris pour acquis que le Capitole n'oserait pas nous montrer de choses aussi tordues, mais j'avais oublié la plus grosse erreur de ce raisonnement : c'était le jour où il venait faucher deux jeunes gens pour se faire massacrer dans une émission de télévision que tous étaient forcés de regarder. Il était donc inutile de dire que je me sentais aussitôt stupide de pouvoir penser que le gouvernement ne se montre pris de retenue dans de tels cas. Mais en réalité, la raison qui me poussait à repenser à cette vidéo était encore plus obscure. C'était parce que pour la première fois de ma vie, je me retrouvais au beau milieu d'un champ de bataille. Et ça n'avait rien à voir avec une vidéo. L'odeur épouvantable qui se dégageait des cadavres me rappelait avec inquiétude celle des poissons laissés sur les quais pendant trop longtemps, l'odeur d'un animal mort. Mais pourtant, c'était des enfants que je voyais. Et non des animaux. Les larmes me montaient aux yeux et je tentais de fuir la vision cauchemardesque - il y avait bien plus de morts cette année que d'ordinaire -, mais je ne pouvais pas me permettre de le laisser paraître, surtout pas maintenant. Nous étions tous là, les carrières, derniers survivants comme à chaque année du Bain de Sang. Les districts Un et Deux avaient perdu un binôme dans le combat, mais nous étions tout de même encore en vie. J'avais peine à le croire moi-même, alors que j'avais combattu comme une boxeuse plutôt que comme une tueuse, sans aucune arme en main. Certes, peu de gens m'avaient jugée digne d'intérêt ; sans arme, sans sac ? D'autres proies plus logiques étaient à portée. Néanmoins, j'étais trempée de sueur malgré mes cheveux ramenés en une tresse partant de ma frange et se terminant en queue de cheval. Il faisait beaucoup plus chaud qu'au Quatre, et je n'étais pas habituée au climat estival des districts méridionaux. Je sentais déjà les étourdissements venir avec l'odeur de charogne qui prenait de plus en plus place dans la terre ; j'allai m'asseoir sur les caisses dans le fond de la Corne pour reprendre mes esprits. Je cherchai Nathaniel du regard, le sachant tout de même en vie étant donné que je tenais toujours sur mes deux pieds. J'avais beau le haïr, s'il était blessé, je n'allais pas le laisser se vider de son sang aujourd'hui. Néanmoins, je trouvai rapidement une trousse de premiers soins à mes pieds ; je l'ouvris rapidement, sortit le rouleau de bandages avec un sourire satisfait. Je m'étais faite mal aux jointures en tapant les quelques tributs qui étaient passés en ma direction et je n'avais pas l'intention de voir la situation se répéter ; j'enroulai les bandages autour de mes mains jusqu'à mes coudes, me créant une protection suffisante pour les combats à venir. J'allais approfondir mes recherches d'équipement lorsque j'entendis finalement les tributs - mes alliés - commencer à se chamailler. Si je pouvais me permettre de l'admettre, ils me faisaient grave flipper. La plupart n'avaient pas hésité une seule seconde avant de massacrer sans remords les autres gamins, certains semblant presque prendre ça comme une partie de plaisir. Comme un jeu. Ces gens-là n'avaient pas l'esprit qui tournait très rond. Je pouvais comprendre que nous étions des carrières et que nous avions un rôle à jouer, mais ceux-là avaient cette sorte... d'étincelle qui s'était allumée dans leurs yeux. Le même genre que celle qui s'allume dans les miens lorsque nous répétons une nouvelle chanson avec le band. Sauf que eux, ce ne sont pas les notes qui les enchantent, mais le sang. Amelia était en train de régler son compte verbalement au mec du Deux, d'ailleurs, ce qui ne fit que renforcer mon sentiment de nationalisme envers le Quatre, tout aussi violente avait-elle pu être pendant le Bain de Sang. Au moins elle ne m'avait pas semblé sourire.

"Amelia, tu m'enlèves carrément les mots de la bouche." ricanai-je lorsqu'elle eut finit.

À peine eus-je le temps de lancer ma pique que la co-tribut du blondinet se précipita pour se pavaner, comme si son Onze de l'avait pas assez mise en valeur. Comment tu l'as eue, c'te note, hein ? pensai-je. Tu leur as fait un strip-tease ? Un sourire narquois se dessina sur mon visage malgré moi. Elle me rappelait vaguement Pétasse Bauer, qui me regardait présentement via son écran télé. Je me demandais si elle pensais la même chose que moi, si elle se disait elle aussi que miss Onze avait tout de la blondasse qu'elle était. Ou alors, elle baddait devant le physique gréco-romain de certains de mes alliés, ce qui ne m'aurait pas étonnée plus que ça.

"On va se séparer en deux groupes, proposa miss Onze. Un restera ici pour s’occuper d’organiser le campement, voir un peu tout ce qu’on a à disposition, et l’autre ira faire un petit tour autour de la corne, histoire de voir s’ils ne reste pas des tributs dans les environs. Si vous croisez quelqu’un, réfléchissez pas : butez-le."

"Et moi qui croyait que nous allions faire un joli feu, ironisai-je d'un ton minaudant. Est-ce vraiment à ça qu'est réduit l'hospitalité du Un, Deux et Quatre ?"

Je savais pertinemment à quoi je m'avançais à ce moment. Si je refusais de jouer selon les règles principales, je devrais m'appuyer sur les exceptions pour me garder en vie ; à savoir les sponsors. Je n'avais rien d'une tueuse, mais le public aimait également les personnages sympathiques, les comic relieves. Peut-être qu'en ajoutant un peu d'humour à mon culot de sorcière, j'éviterais de me retrouver trop dans la merde une fois la partie avancée. À condition que je survive jusque là.

Cela aurait pu être des minutes comme des heures entières qu'Etta était accroupie sur le tribut du district trois, à le tourmenter avec un sadisme qui la caractérisait si bien. La jeune femme du un avait littéralement oublié leurs alentours, obnubilée par la douce et inoffensive brebis qu'elle tenait entre ses mains ensanglantées. Elle ne s'était pas réellement décidée à le tenir en vie jusqu'à la fin, simplement assez de temps pour qu'elle puisse se défouler autant que possible. L'avoir à sa merci lui procurait un plaisir salvateur, chacun de ses gémissements rauques la galvanisant au fur et à mesure que la lueur s'éteignait dans son regard larmoyant. Et pendant quelques minutes, ce n'avait plus été le visage fin du garçon du trois qui lui avait fait face, mais celui de Basil, son partenaire du district un. Sans même le réaliser, Etta s'était alors acharnée davantage sur le corps frêle du pauvre mourant, lui arrachant un énième cri de douleur alors que son genou avait littéralement écrasé ses parties génitales. Les mains de la blonde avaient parcouru lascivement les traits fins du garçon, avant de finir par le forcer violemment à entrouvrir les lèvres. Les minutes qui avaient suivies, Etta ne s'en souvenait plus réellement, aveuglée par une rage si intense qu'elle avait éclipsée sa raison et l'avait transformée en une fillette sauvage et impitoyable. Elle tenait encore la langue du garçon, quand le bain de sang s'était finalement achevé.

"Je pense qu'on devrait récupérer tout les sacs qui reste, comme ça on se partage le butin et tout le monde est content ? Aussi on pourrait prendre les vêtements des tributs, ça peut toujours être utile. Après je dis ça pour vous, si vous n'en voulez pas, bien c'est votre choix. Je propose également qu'on fasse un grand feu pour attirer les petits tributs qui voudraient nous défier la nuit ?"

Elle observa en silence les potentiels vainqueurs, qui, déjà, semblaient se battre pour le rang du chef, leader souvent éphémère puisque premier à être évincé par les carrières, lorsque ces derniers n'aspiraient plus aucune alliance. Etta eut un léger gloussement quand la tribut du quatre, Amelia, prit la parole. Elle l'aimait bien, cette gamine, elle était amusante et cinglante. Elle se demanda brièvement combien de temps elle tiendrait avant de mourir.

« On va se séparer en deux groupes, un restera ici pour s’occuper d’organiser le campement, voir un peu tout ce qu’on a à disposition et l’autre ira faire un petit tour autour de la corne, histoire de voir s’ils ne restent pas des tributs dans les environs. Si vous croisez quelqu’un réfléchissez pas : butter le. »

N'était-ce pas le but même des Jeux que de butter autant d'innocents que l'on croisait, songea brièvement la carrière. “ça sera la corne pour moi.” répondit-elle automatiquement, la tête légèrement penchée sur le côté comme si elle avait passé quelques secondes à tergiverser sur son choix final. Trouver un en-cas ou fouiller pour s'accaparer de son arme fétiche ? La décision s'avérait fortement problématique pour une fille telle qu'Etta.

"Et moi qui croyait que nous allions faire un joli feu. Est-ce vraiment à ça qu'est réduit l'hospitalité du Un, Deux et Quatre ?"

"Ne t'inquiète pas poil de carotte," intervint la carrière, avec un sourire candide. Son apparente amabilité allait sans doute pousser les autres à la méfiance, malgré la véritable sincérité d'Etta. "on fera griller des trucs et on sympathisera tous autour du feu ce soir, comme ça bye bye les tensions !" s'exclama-t-elle toute guillerette, en tapant vivement ses paumes l'une contre l'autre. Le liquide visqueux de sa victime présent le long de ses bras et de ses mains séchait déjà, remarqua inconsciemment Etta. Sans attendre, elle sautilla vers la corne comme si le bain de sang ne l'avait pas drainée de toutes ses forces. Elle ne s'était pas réellement épuisée après tout, se contentant de rester assise à califourchon sur sa victime.